Quatrième de couverture:
« Ils l'ont retrouvée comme ça. Nue et morte. Sur la plage d'un pays arabe. Avec le sel qui faisait des cristaux sur sa peau. Une provocation. Une invocation. À écrire ce livre, pour toi, mon fils. » Un homme enquête sur la femme qu'il a passionnément aimée. Elle est partie il y a plusieurs mois, pour une destination inconnue, le laissant seul avec leur petit garçon. Quand le roman s'ouvre, on l'appelle pour lui dire qu'on l'a retrouvée morte, sur une plage, près des vagues, vraisemblablement noyée, dans un pays lointain au paysage minéral qui pourrait être l'Arabie. Elle était artiste, elle s'appelait Paz. Elle était solaire, inquiète, incroyablement douée. Elle étouffait en Europe. Pour son fils, à qui il doit la vérité sur sa mère, il remonte le fil de leur amour - leur rencontre, les débuts puis l'ascension de Paz dans le monde de l'art, la naissance de l'enfant et essaie d'élucider les raisons qui ont précipité sa fin. Des trésors de la vieille Europe aux mégapoles du nouveau monde, du marbre des musées au sable des rivages sensuels où l'on se lave de tout, « Plonger » est l'itinéraire d une héroïne de notre temps. En quête de liberté, de profondeur, et de pureté dans un monde de plus en plus étouffant.
La quatrième de couverture raconte assez bien le contenu de ce livre. C'est une histoire agréable à lire, on prend du plaisir à découvrir comment cette belle histoire d'amour va naître et déchaîner la passion... pour ensuite finalement se déliter, comme ça arrive bien souvent dans la vie. Cependant, malgré un sujet à priori intéressant et un style accessible, cette lecture ne me marquera pas très longtemps...
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